« Le fait de vouloir figer des pratiques ou des enseignements dans des dogmes personnalisés appauvrit la connaissance. Ce n’est au contraire qu’en considérant sa propre ignorance et en faisant acte de vouloir comprendre par soi-même, en se référant à ce qui est acquis par des méthodes scientifiques avérées, ce qui est fondamentalement nécessaire au cheval et quelles sont ses capacités qui celui-ci, que l’on admire, deviendra plus admirable encore. La connaissance ne peut que conduire à un plus grand respect de l’animal en général et du cheval en particulier et non à glorifier le seul fait que le cheval nous supporte sur son dos. »